Qu’est-ce qu’être heureux, qu’est-ce que le bonheur?

Ah, le bonheur…

Cet article sur le bonheur est incomplet et imparfait. Créer une définition et un guide pour être heureux c’est créer une définition et un guide pour vivre. Je n’ai pas la prétention d’avoir ces connaissances et cet expérience. Malgré le fait qu’il soit incomplet et imparfait, cet article sur le bonheur est profondément en ligne avec mes croyances, mes compétences et ce que j’observe dans ma vie et la vie de mes clients.

Bonne lecture.

C’est difficile de définir le bonheur, on a tendance à le définir par ce qu’il n’est pas, par ce qui le compose, l’améliore ou lui nuit, mais c’est difficile de s’arrêter à une définition qui explique bien ce sentiment tant recherché.

Alors, qu’est-ce qu’être heureux et qu’est-ce que le bonheur?

Ma définition du bonheur est la suivante:

Le bonheur est un sentiment de satisfaction générale face à ma vie, à ma situation globale du moment et à la direction dans laquelle j’avance, cette satisfaction globale et imparfaite est jumelée à un sentiment que la vie est généralement bonne, significative et utile pour moi.

Définition du bonheur de Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonheur

Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l’esprit et du corps, d’où la souffrance, le stress, l’inquiétude et le trouble sont absents.

Du point de vue de l’étymologie, le bonheur est l’aboutissement d’une construction, qui ne saurait être confondue avec une joie passagère.

Autres définition et synonymes:

Bonheur: État de grande satisfaction, de plénitude, de bien-être.

Synonymes:

Plaisir — bien-être, bon temps, contentement, délectation, délice, douceur, euphorie, félicité, jouissance, orgasme, plaisir, régal, satisfaction, septième ciel, volupté.
Joie — allégresse, béatitude, égaiement, enthousiasme, euphorie, exaltation, extase, exultation, gaieté, hilarité, ivresse, joie, jubilation, plaisir, ravissement, réjouissance, vertige.

Source: Article « bonheur », Dictionnaire de définitions – synonymes, Antidote 8, version 5.1 [Logiciel], Montréal, Druide informatique, 2015.

Ma façon de voir le bonheur

Je suis en partie d’accord avec la définition de wikipédia. Là où j’aime moins ça, c’est avec le fait que le bonheur est un état d’où la souffrance, le stress, l’inquiétude et le trouble sont absents. C’est irréaliste de penser que le bonheur est à la foi un état durable de plénitude, de satisfaction et de sérénité, et en même temps, un état inhabité par la souffrance, le stress, l’inquiétude et le trouble. Si c’était le cas, ça serait impossible d’être heureux.

Pour moi, le bonheur n’est pas un état absolut, c’est un état global, relatif, en mouvement constant. Je suis rarement dans un parfait état de bonheur, comme je suis rarement dans un total malheur. Le bonheur est une photo pleine largeur de ma vie présente, de la direction et du sens que je lui donne qui me satisfait et me remplis.

Le bonheur est large, imparfait et variable, comme le malheur d’ailleurs.

Le bonheur et le malheur ne sont pas absolut, je le répète, il y a une variété incroyable d’états de satisfactions et d’insatisfaction et une quantité infinie d’intensité avec laquelle on peut les vivre. Si je suis généralement satisfait de ma vie, je tends vers le bonheur, l’inverse est aussi vrai pour le malheur.

Le bonheur n’exige pas l’absence de souffrance, de stress ou de difficultés. Je dirais même que de viser à éliminer la souffrance de notre vie dans l’espoir d’être heureux est le chemin le plus sûr pour être malheureux, c’est un comportement défensif qui entretient les insatisfactions. Savoir souffrir pour les bonnes raisons et accepter que la souffrance fait partie d’une vie saine est d’ailleurs une des caractéristiques des gens heureux.

Le bonheur se vit dans le moment présent, non pas que ça soit une surprise parce que c’est le seul qui existe, mais il n’est pas nécessairement tributaire de ce qui se passe dans le moment présent.

Comme je l’ai dit, le bonheur est une photo pleine largeur de ma vie présente, si je vis quelque chose de difficile momentanément, je suis toujours capable de voir la photo d’ensemble et être quand même heureux. Si par contre, de jour en jour, je suis pris dans des difficultés et dans l’adversité, ces états auront un impact sur la photo pleine largeur de ma vie et sur mon bonheur.

Voici une citation sur le bonheur que j’aime beaucoup.

« Le bonheur n’est pas l’absence de souffrance. Le bonheur est inaccessible si nous croyons que l’atteindre signifie vivre dans un monde idéal sans imperfection, sans douleur, sans souffrances. Cette conception n’existe que dans les contes de fées. De plus, il est illusoire de croire que le bonheur apparaitra, comme par magie, après un moment d’inconfort ou une épreuve de vie. Finalement, croire qu’il serait présent si le passé avait été différent, c’est tenter de construire une vie sur quelque chose qui n’existe pas.

Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, le bonheur peut cohabiter avec l’imperfection, l’inconfort et la souffrance parce que le bonheur ne se trouve pas dans un monde idéal, dans le futur ou dans le passé. Il est inatteignable quand nous le cherchons dans l’absolu, mais tout proche quand nous arrivons à vivre le moment présent en pleine conscience. Pour ce faire, un secret : ralentir. »

Marie Portelance TRA, Site web du CRAM, Actualité, Être heureux au présent, 23 décembre 2015.

(https://www.cramformation.com/actualites/etre-heureux-au-present)

Responsable de notre bonheur

Les deux facteurs qui influencent le plus le bonheur sont :

1- La capacité à vivre, souligner et exprimer les plaisirs, les joies et toute la gamme des émotions et sentiments agréable que l’on vit, qu’ils soient subtils ou intenses.

2- La capacité à savoir faire face et faire avec l’adversité et les difficultés de la vie pour satisfaire nos besoins non comblés, nos manques, mettre nos limites, etc.

C’est notre capacité à avoir une hygiène de vie saine face aux joies, aux plaisirs et à tout ce qui est bon dans notre vie jumelée à notre capacité à faire face aux épreuves et aux difficultés qui nous rends réellement heureux.

On est donc entièrement responsable de notre bonheur.

Bien sûr que plusieurs facteurs extérieurs ont un impact sur notre bonheur, mais malgré leur impact réel, ce n’est pas les facteurs extérieurs qui favorisent ou nuisent le plus au bonheur, c’est notre capacité à faire avec les situations de la vie qu’elle soit agréable ou non.

 

 

Qu'est-ce que le bonheur? C'est la capacité à jouir de la vie dans son ensemble, à souligner petites joies et les petits plaisirs quotidiens, les succès et toutes les émotions agréable et satisfaisante de la vie. Quand on s'arrête pour les gouter, on les emmagasine dans notre réservoir.

Combler nos besoins. Parenthèse sur les émotions.

Combler nos besoins = satisfaction. Parenthèse sur les émotions.

L’écoute de notre monde émotionnel est un des facteurs des plus importants pour être heureux.

Voici comment nos émotions jouent un rôle important face au bonheur.

Les émotions ont 2 polarités, agréable / plaisante, et désagréable / souffrante. Les émotions agréables nous disent qu’un ou plusieurs besoins sont comblés. Les émotions désagréables nous disent qu’un ou plusieurs besoins ne sont pas comblés. Simple non?

Il faut donc apprendre à connaitre, reconnaitre, ressentir nos émotions pour pouvoir contacter nos besoins, s’en occuper et les satisfaire. Le bonheur est un état global de satisfaction, si je veux être heureux, je dois être apte à satisfaire mes besoins et je n’y arriverai pas sans l’écoute et l’accueil de mon monde émotionnel.

Les émotions sont là pour nous parler donc, pour nous dire si nos besoins sont comblés ou non, ce sont simplement des panneaux de signalisation. Et étant donné que la plupart des gens ont de sérieuses difficultés à lire les panneaux de signalisation, ce n’est pas surprenant qu’ils se sentent perdus et insatisfaits.

On a aussi souvent tendance à se couper des émotions désagréables / souffrantes pour éviter de souffrir. Le problème c’est que lorsqu’on est coupé des émotions désagréables, on est aussi coupé des émotions agréables. En fait, quand on essaie de se couper des émotions désagréables, c’est l’intensité de notre monde émotionnel qui est réduite, pas seulement des émotions souffrantes.

L’écoute de mes émotions agréable me permet de les souligner, donc de les entreposer dans mon réservoir à bonheur. Ça me permet aussi de savoir ce qui est bon pour moi et d’en ajouter davantage dans ma vie.

L’écoute de mes émotions désagréable, elle, me permet d’identifier mes besoins non comblés mes manques et mes limites et de m’en occuper, ce qui, une fois mes besoins comblés, génèrera des émotions agréables que je pourrai entreposer à nouveau dans mon réservoir.
C’est ce qu’on appelle l’actualisation de soi. Être à l’écoute de soi et travailler à s’occuper de soi pour vivre une vie pleine et heureuse.

Je vous invite à lire mon article La conscience de soi pour prendre soin de soi pour aller un peu plus loin dans l’écoute de vos émotions et l’identification de vos défensives pour être apte à mieux vous occuper de vous.

le bonheur est comme un jardin, il a besoin d'entretien

Le bonheur, ça se travaille – L’analogie du jardin.

J’adore expliquer avec des images, imaginons donc que le bonheur est un jardin fleuri, remplis de fruits e t de légumes savoureux.

Pour avoir jardin fleurissant de récolte, j’ai besoin d’y travailler quotidiennement. Je n’ai pas besoin de chercher les récoltes, j’ai besoin d’agir aujourd’hui pour qu’elles arrivent en temps et lieu, j’ai besoin de créer les conditions gagnantes pour que mon jardin fleurisse.

Une fois les fruits de mon jardin récolté est-ce que j’arrête de travailler à mon jardin? Non, c’est un travail sans fin, tant et aussi longtemps que je vais vouloir profiter de mon jardin, je vais devoir l’entretenir pour pouvoir continuer de récolter.

Personne ne se réveille du jour au lendemain avec un jardin prêt à être récolté. Certaine personne on appris tôt dans leur vie à s’occuper de leur jardin, certain on un talent particulier pour le jardinage, mais personne n’échappe au travail nécessaire à l’entretien d’un jardin pour avoir des résultats, personne.

Même chose pour le bonheur

Pour être heureux, je dois y travailler tous les jours de mon mieux, je n’ai pas besoin de chercher le bonheur, j’ai besoin d’agir aujourd’hui, de créer les conditions gagnantes pour être heureux.

Est-ce que j’arrête de travailler une fois que je suis heureux? Non, c’est un travail sans fin, tant et aussi longtemps que je vais vouloir être heureux, je vais devoir entretenir mon bonheur pour continuer d’en profiter.

Personne ne se réveille du jour au lendemain en étant heureux. Certaine personne on appris tôt dans leur vie à faire les choses nécessaires pour être heureux, certaines personnes semblent avoir des aptitudes naturelles pour le bonheur, mais personne n’échappe au travail nécessaire à être heureux.

“Être heureux, c’est apprendre à choisir. Non seulement les plaisirs appropriés, mais aussi sa voie, son métier, sa manière de vivre et d’aimer. Choisir ses loisirs, ses amis, les valeurs sur lesquelles fonder sa vie. Bien vivre, c’est apprendre à ne pas répondre à toutes les sollicitations, à hiérarchiser ses priorités. L’exercice de la raison permet une mise en cohérence de notre vie en fonction des valeurs ou des buts que nous poursuivons. Nous choisissons de satisfaire tel plaisir ou de renoncer à tel autre parce que nous donnons un sens à notre vie – et ce, aux deux acceptions du terme : nous lui donnons à la fois une direction et une signification.”

– Sénèque

La discipline du bonheur

Le bonheur et un état de fond, bâtit et créer par des principes et aptitudes de base applicable par tous et chacun.

La réalité est aussi que chaque personne est différente et donc, les actions concrète pour créer ce bonheur vont être différente d’une personne à une autre. Exemple : la capacité à s’occuper de nos besoins est un facteur déterminant pour être heureux, et ce pour tout l’monde, par contre, mes besoins et la façon dont je vais m’en occuper m’appartient à moi seul.

Plusieurs principes et aptitudes de base peuvent nous aider à avancer sur la route du bonheur, seul et pris indépendamment, ils ne sont pas directement responsables de notre bonheur. Ils ont par contre un impact important sur nos vies quand il sont mis ensemble, que ce soit dans leur absence ou dans leur présence.

En voici quelques-uns:

Pour être heureux…

J’ai besoin de croire en la possibilité de l’être.

J’ai besoin de croire en ma capacité à l’être.

J’ai besoin travailler à prendre l’entière responsabilité de ma vie.

J’ai besoin d’être à l’écoute de moi, de mes émotions, de mes besoins, de mes manques, de mes limites, etc.

J’ai besoin de travailler à m’aimer, m’accepter, me respecter de plus en plus, de jour en jour.

J’ai besoin de me mettre en #1 dans mes priorités.

J’ai besoin de travailler mon honnêteté, mon humilité, ma lucidité.

J’ai besoin de travailler ma capacité à choisir, décider et agir.

J’ai besoin d’avoir une vie spirituelle active (peu importe la forme que ça peut prendre pour vous).

J’ai besoin de donner un sens à ma vie, d’avoir des projets, des buts et des objectifs à atteindre.

J’ai besoin de légèreté, de plaisirs et de joies simples.

J’ai besoin de donner, d’être généreux dans le respect de moi et de mes limites.

J’ai besoin d’avoir des relations saine et satisfaisante.

J’ai besoin de travailler à me donner la liberté d’être moi-même, d’exister pleinement tel que je suis.

J’ai besoin de travailler ma capacité à accepter ce que je ne peux changer et à lâcher prise.

J’ai besoin de travailler ma capacité à m’engager, à moi et aux autres.

J’ai besoin de travailler ma confiance en moi et mon rapport à mes peurs.

J’ai besoin de vivre des expériences nouvelles.

J’ai besoin de travailler ma capacité à faire preuve de gratitude.

J’ai besoin de travailler à apprécier les choses simples de la vie.

J’ai besoin de mettre de la priorité dans mes valeurs.

J’ai besoin de travailler ma capacité à me structurer et m’encadrer.

J’ai besoin de travailler mon ouverture d’esprit et mon ouverture aux autres.

J’ai besoin de prendre soin de mon corps.

J’ai besoin de travailler mon rapport au pardon et à sortir du ressentiment.

J’ai besoin de travailler ma capacité à souffrir pour être mieux, pour mon bien.

J’ai besoin de développer un esprit de progression.

J’ai besoin de travailler ma vision à long terme et de travailler à avancer vers la réalisation de cette vision.

Cette liste n’est évidemment pas complète. Par contre, de l’écrire et de la relire me donne une bonne idée de l’enlignement que j’ai besoin de prendre pour être heureux.

Le bonheur passe parfois par le malheur

Réveil brutal – Le bonheur, c’est maintenant.

Au début de ma pratique professionnelle, après des années à travailler pour être thérapeute, auteur/blogueur, conférencier, et malgré le fait que j’étais rendu à cette étape de ma vie après d’innombrables efforts, je me suis surpris à être à bout de nerfs et profondément malheureux. Ça a été un choc pour moi de réaliser que je faisais ce dont j’avais toujours rêvé et que j’étais encore malheureux, avant j’avais l’excuse d’avoir un travail que je détestais, mais je ne l’avais plus, ce fut un réveil brutal.

En travaillant en thérapie, j’ai réalisé que depuis quelques années, j’avais adopté un fonctionnement qui vise toujours l’avenir, dans ma quête d’avancement et de réalisation de mes objectifs, j’ai perdu le plaisir du processus et je me suis concentré sur les résultats à venir. Je vais être heureux quand…

Le problème avec l’avenir c’est qu’on y est jamais.

En étant concentrée sur l’avenir et les résultats plutôt que sur le processus dans le présent, ma peur de ne pas réussir m’a amené à sortir de ma vie tout ce qui n’était pas axé sur ma réussite future, incluant le plaisir et la légèreté.

Je suis donc tombé dans l’action sérieuse et ininterrompue avec le bourreau et le juge comme motivateurs, tout ça pour l’obtention d’une vie de rêve qui a tourné au cauchemar. Ça me touche de vous le nommer, ça me touche de voir comme à vouloir avancer et réussir à tout prix, je me suis perdu et j’ai perdu ma joie de vivre, mon bonheur.

J’avais mis de côté les émotions agréables, vous vous souvenez, pour être heureux, « j’ai besoin d’avoir la capacité à vivre, souligner et exprimer les plaisirs, les joies et toute la gamme des émotions et sentiments agréable, qu’ils soient subtils ou intenses. »

J’avais un jardin bien rempli, mais je n’étais pas capable d’en profiter, je n’étais pas capable de m’arrêter pour apprécier et savourer les fruits de mon travail.

L’équilibre s’acquiert en conscientisant nos manques, nos besoins comblés et non comblés, j’étais immergé dans les besoins non comblés et incapables de voir le beau et le bon dans ma vie.

J’ai eu besoin de travailler à apprécier le travail dans mon jardin, j’ai eu besoin de revenir au moment présent, j’ai eu besoin de retrouver des plaisirs quotidiens à faire ce que j’adore, j’ai eu besoin de me sécuriser sainement en m’encadrant et en me structurant dans ma nouvelle vie de travailleur autonome. J’ai eu besoin de douceur envers moi-même, de laisser aller le juge et le bourreau. J’ai aussi eu besoin de lâcher prise sur ce dont je n’ai pas de pouvoir, c’est-à-dire mon passé et mon avenir.

Le seul moment où j’ai du pouvoir, c’est maintenant et j’ai beau faire tout ce qu’il faut pour avoir un beau jardin, si je n’ai pas de plaisir à faire le nécessaire, si je n’apprécie pas mon quotidien, je ne serai jamais heureux. Le bonheur c’est maintenant.

Qu'est-ce que le bonheur? C'est aussi célébrer. Célébrer mes réussites est une façon de valider le temps et les efforts investis dans mon bonheur à long terme, dans ce qui est bon pour moi.

Qu’est-ce qu’être heureux, qu’est-ce que le bonheur? La conclusion.

En résumé:

  • Le bonheur est un sentiment de satisfaction générale face à ma vie jumelé à un sentiment que la vie est généralement bonne, significative et utile pour moi.
  • Le bonheur est une photo pleine largeur de ma vie présente, de la direction et du sens que je lui donne qui me satisfait et me remplis.
  • Le bonheur n’exige pas l’absence de souffrance, de stress ou de difficultés.
  • Viser à éliminer la souffrance de notre vie dans l’espoir d’être heureux est le chemin le plus sûr pour être malheureux.
  • Pour être heureux, j’ai besoin de développer la capacité à vivre et souligner les plaisirs et les joies AINSI que la capacité à négocier avec l’adversité et les difficultés de la vie pour m’occuper de moi.
  • Je suis responsable de mon bonheur, le bonheur, ça s’apprend et ça se travaille.
  • Le bonheur c’est maintenant, j’ai besoin d’apprécier le processus, j’ai besoin d’apprécier le travail dans mon jardin aujourd’hui.

Que dire pour terminer cet article, le bonheur c’est l’art de vivre, c’est s’occuper de soi, savoir choisir et se choisir, faire des efforts, profiter de la vie maintenant, faire preuve de gratitude et bien plus encore.

Le bonheur c’est un art et pour maîtriser l’art du bonheur, j’ai besoin de le pratiquer. C’est ce que je m’efforce de faire, un jour à la fois et d’expérimenter avec ce qui fonctionne pour moi aujourd’hui.

Je vous invite à faire de même, expérimentez, essayer, c’est possible d’être heureux, c’est possible de faire du bonheur un compagnon de vie, imparfait, mais présent.

Je vous invite à m’écrire ou à commenter, ça me fera plaisir de vous répondre.

Yannick Delorme Thérapeute en relation d’aide